Comment se retrouver professionnellement une fois maman ? (Partie 1 : quelle femme êtes vous devenue ?)

S'épanouir au travail quand on a des enfants

Si, comme 97% des femmes que j’ai interrogées, vous réalisez que vous n’avez plus les mêmes priorités depuis que vous avez des enfants, cet article est fait pour vous !

(Pour voir les résultats du sondage : https://lescale.io/se-retrouver-professionnellement-quand-on-est-maman/)

Vous avez envie de vous épanouir dans votre boulot, de donner du sens à ce que vous faites et ça sans sacrifier votre vie de famille ?

En attendant, vous avez l’impression de n’être jamais assez dans votre job ou jamais assez avec vos enfants ?

Je commence par une petite parenthèse pour vous parler un peu de moi (et si c’est trop long, n’hésitez pas à passer à la suite !).

Depuis que mes enfants sont nés, je n’ai pas arrêté de courir après un équilibre. Pourtant, avant d’avoir des enfants, je ne pensais pas du tout que je changerais à ce point. 

Après mon premier congé maternité (et un déménagement) j’ai débuté un nouveau job. La prise de poste s’est bien passée. Mon manager était super et me laissait beaucoup de flexibilité. Néanmoins, il est quand même un peu plus difficile de faire ses preuves tout en gérant la fatigue et les gardes d’enfant malade…

Je culpabilisais de laisser ma fille 10h par jour à la crèche. Je ne finissais pourtant pas très tard mais j’étais tout de même la dernière à aller la chercher et je la retrouvais parfois endormie toute seule par terre sur un matelas. 

J’avais l’impression de ne pas être assez présente pour ma fille alors même que je répétais sans arrêt aux candidats que je ne pouvais pas les recevoir en entretien avant 8h ou après 18h….

A la naissance de mon fils, 2 ans plus tard, ça a rapidement été beaucoup plus clair dans ma tête, : j’avais besoin de plus de temps avec mes enfants. 

J’ai décidé de demander un congé parental et ne plus travailler le mercredi. Je n’ai eu aucun mal à l’obtenir mais je savais au fond de moi que je me grillais professionnellement.

Passer mon mercredi avec mes enfants m’a apporté un réel équilibre; je culpabilisais beaucoup moins de ne pas être assez avec eux. Néanmoins, une nouvelle culpabilité est apparue : celle de ne pas travailler assez pour pouvoir atteindre mes objectifs mensuels. 

Culpabilité aussi vis à vis de mon mari car je ne gagnais pas le même salaire et car je m’apercevais à travers ses yeux que je n’étais pas la business Woman qu’il imaginait. 

Un peu de honte aussi vis à vis de certaines amies qui continuaient à gravir les échelons dans leurs entreprises…

Il y a un peu plus d’un an (je passe les détails !) j’ai créé l’Escale avec comme motivation principale l’envie de trouver, enfin, un équilibre. 

En effet, je sais que j’ai besoin d’avoir beaucoup de temps avec mes enfants pour être épanouie professionnellement.

J’ai besoin de flexibilité. 

Mais au delà de ça, j’ai aussi besoin de trouver un sens à ce que je fais. J’ai besoin de me sentir utile. 

Du coup, dans les parcours d’accompagnement que j’ai créés, c’est un peu mon expérience et mon cheminement que j’ai eu envie de partager pour aider toutes celles qui sont passées par les mêmes étapes que moi.

Evidemment, on n’a pas besoin de toutes lancer son business pour s’épanouir professionnellement quand on devient maman.

Ce qui est important, c’est surtout de comprendre quelle femme on est devenue, quelle femme on a envie d’être et de gagner en confiance pour oser se lancer. 

Dans ce premier article, je vous propose donc de faire un point sur la femme que vous êtes devenue… et on attendra le prochain pour parler de cette femme que vous avez envie d’être !

 

 

Première étape : faites le point sur la femme que vous êtes devenue

Avant d’avoir mes enfants, j’avais une vision assez claire dans ma tête. Je n’imaginais pas mettre un terme à ma carrière et, pour être honnête, je ne comprenais pas du tout les femmes qui faisaient une pause pour s’occuper à temps plein de leurs enfants. 

J’imaginais 2 vies assez distinctes : 

  • Côté pro : des journées en tailleur/ talons, des apéros entre collègues, des missions sympa, des déplacements et des nuits d’hôtel…
  • Côté perso: une maman accomplie (ou la mère Décathlon) qui réalise de super activités avec ses enfants mais qui reste quand même disponible pour son mari. 

Dans les faits, quand on devient maman,  cela ne se passe pas toujours comme ça. Et c’est à ce moment là que vous réalisez que votre vision du travail a changé et que, vous aussi, vous avez changé.

Mais que s’est-il passé ?

Voici quelques questions à vous poser pour vous aider à comprendre quelle femme vous êtes devenue: 

 

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Les mamans avec qui j’échange me disent souvent qu’elles souhaitent avoir un meilleur équilibre de vie.

Or, pour avancer vers cet équilibre, il est déjà primordial de comprendre ce qui constitue votre équilibre et ce qui vous manque aujourd’hui. 

  • Est-ce que vous avez assez de temps pour voir vos amis ?
  • Est ce que vous assez de temps pour vous ? (Pour faire du sport, pour dormir..)
  • Est ce que vous avez besoin de plus de temps pour votre couple ?

On sait qu’il y a des « temps de vie » pour chacun, il y a néanmoins peut être des éléments qui sont beaucoup plus importants pour vous en ce moment. Soyez donc vraiment honnête avec vous-même et dites vous bien que c’est un mythe d’avoir un équilibre professionnel et personnel parfait. Vous ne serez jamais totalement épanouie dans tous les domaines mais il est intéressant de voir là où sont les points de souffrance par rapport à un moment M. 

A quel niveau est votre culpabilité ? 

Si vous avez constaté que vous n’êtes pas totalement épanouie sur certains domaines, il est intéressant de voir si cela entraîne de la culpabilité chez vous.

Par exemple, si vous savez que vous ne consacrez pas autant de temps que vous le souhaiteriez à vos enfants, est ce que cela entraîne de la culpabilité ? 

Pour ma part, la culpabilité est quelque chose qui est vrai fardeau au quotidien et qui me bloque dans beaucoup de projets. Je suis quelqu’un qui culpabilise beaucoup, et ce depuis toute petite, mais cela a été décuplé depuis que j’ai mes enfants.  

De manière générale, j’entends souvent « je ne me sens jamais assez ni au boulot, ni à la maison, toujours coupable ». 

On sait maintenant qu’il y a une raison scientifique à cette culpabilité féminine … Mais ça serait tout de même pas mal de pouvoir s’en détacher un peu ! 

 

Les petits conseils pour déculpabiliser : 

Voici quelques pistes pour arriver à moins culpabiliser …

  • Alignez-vous au maximum avec vos valeurs et vos besoins

La culpabilité est souvent décuplée quand on fait quelque chose dont on n’est pas satisfaite. C’est un très bon indicateur qui vous rappelle que vous vous éloignez de ce que vous voulez être vraiment. 

Si vous ressentez une culpabilité trop forte sur un domaine, posez vous les bonnes questions pour comprendre quelles sont vos valeurs et pour essayer de vous en approcher.

  • Libérez-vous de l’image de la mère toute puissante

Même si cela s’estompe un peu, notre société véhicule l’idée que « rien ne vaut la mère ». Dès lors, les femmes elles-mêmes pensent que personne ne peut remplir leur fonction efficacement. 

Selon la psychanalyste Sylviane Giampino, « la mère, à partir de la réalité de la grossesse, a une impression de toute-puissance. Elle pense que si l’enfant va bien c’est grâce à elle et s’il ne va pas bien c’est à cause d’elle. Le sentiment de culpabilité est le revers de la médaille de l’illusion de toute-puissance ».

Pour sortir de là, il est nécessaire de réaliser que nous ne sommes pas les seules à avoir de l’importance pour nos enfants

Sur la question de la garde d’enfants, par exemple, on ne devrait pas oublier que le père, les grand-parents ou même la nounou ont aussi un rôle à jouer et vont participer au bon développement affectif et à la construction de l’équilibre de nos enfants. 

L’objectif est, en définitive, de se détacher de la toute puissance illusoire. 

Par exemple : « je culpabilise de placer mon enfant à la garderie le soir » et si je m’en occupais à 100%, il se développerait parfaitement… 

  • Echanger

Pour moi, le meilleur outil pour arrêter de culpabiliser reste d’échanger avec d’autres mamans. 

Grâce à l’école de mes enfants, je me suis fait de vraies amies. Mon petit plaisir, surtout maintenant que je travaille seule, c’est le café des mamans du vendredi matin. Papoter avec elles me permet de constater que notre expérience et nos problèmes sont pour la plupart universels !

Si vous en avez la possibilité, essayez donc de multiplier les échanges. 

L’objectif est surtout de verbaliser ce que vous ressentez. Si vous avez envie d’être rassurée lorsque vous avez l’impression d’être une mauvaise mère, parlez en à vos amies. Elles vont toutes se lâcher et y aller de leurs confidences ! Ou encore, imaginez ce que vous diriez vous-même à une copine qui culpabiliserait d’une situation. Vous verrez que vous serez beaucoup plus sympa et tolérante avec cette copine qu’avec vous-même !

  • Arrêter de se comparer

Je n’ai pas de recette miracle là dessus mais je sais que l’une des clés pour moins culpabiliser est d’arrêter de regarder ce que les autres font. (Ou pire, de scroller Instagram et Facebook remplies de photos de mamans au top). 

Le plus bel exemple à date : le nombre de comptes, pendant le confinement, qui n’ont fait que nous montrer qu’on n’était vraiment pas la mère parfaite !

 

Et votre charge mentale, on en parle ? 

 

On continue sur les aspects pas très fun, désolée, car on va parler d’un deuxième boulet que beaucoup de femmes doivent porter : la charge mentale.

On en parle beaucoup, on en rit souvent, mais il est toutefois important d’en parler car, mine de rien, une charge mentale trop forte va vite jouer sur votre fatigue et peut avoir des effets désastreux dans votre job (ou même dans votre couple). 

Pour rappel, la charge mentale c’est quoi ? 

C’est le fait de devoir penser à un domaine alors qu’on se trouve physiquement dans l’autre. La charge mentale n’est ni une simple addition de tâches, ni le fait de vivre deux journées en une seule. C’est le fait de coexister dans 2 mondes à la fois et pas seulement l’un après l’autre. Toute la journée c’est une course contre la montre et une lutte contre le temps qui passe trop vite. 

J’ai lu quelque chose qui m’a beaucoup parlé : les femmes passent leur temps à compter : compter le temps de préparation d’un repas, compter les biberons, les tétées, les jours de leur cycle, le temps du cycle de la machine à laver (pour arriver à coucher les enfants entre temps), le temps de repousse des poils etc.

Et s’ajoute à cela le fait de s’approprier la plupart des tâches ménagères liées aux enfants, souvent en plus de leur boulot. 

La charge mentale revient aux femmes depuis la nuit des temps mais ce n’est pas pour ça que c’est irrémédiable.

Pour vous aider à alléger un peu ce nouveau boulet, il va falloir mettre des mots sur tout ce que vous faites au quotidien. 

Réalisez par exemple votre « done-list », c’est à dire tout ce que vous réalisez, heure par heure.

Ou alors, listez toutes les tâches du quotidien avec la personne qui partage votre vie et cochez dans un tableau « qui fait quoi ». (Attention pour vous aider, il y a pour chaque tâche 2 questions à poser ! Exemple : « Qui fait les courses? » et « Qui fait la liste de courses? ». 

Les petits conseils pour alléger votre charge mentale

Pour vous aider, rappelez vous des 4 D : 

  • Déléguer

Une fois que vous avez plus de visibilité sur qui fait quoi à la maison, à vous d’essayer de réduire le nombre de choses à faire et, surtout, celles auxquelles vous devez penser. Parce que c’est ça, la vraie charge mentale. 

Il va donc falloir identifier les problèmes à partager, et pas uniquement à déléguer. Pourquoi ? Parce qu’en réalité, déléguer prend encore plus de temps. 

Plusieurs fois, mon mari m’a demandé s’il pouvait m’aider à faire les valises des enfants et j’ai renoncé. En revanche, maintenant, il est responsable du pôle « repas». C’est lui qui choisit les menus et il fait les courses en fonction. Je dois donc moins penser à la liste de courses. 

Bon, en réalité, je ne suis pas du tout un bon exemple mais l’idéal serait de déterminer des vrais chefs de projets pour chaque tâche. 

  • Décentrer 

J’ai découvert cette notion que je trouve assez intéressante. 

Décentrer, c’est se demander quelle importance aura telle ou telle tâche dans 5 ans. Par conséquent, demandez-vous, pour chaque tâche que vous réalisez au quotidien, si cela aura de l’importance dans 5 ans. Si vous répondez oui, placez cette tâche en tête de liste . Si ce n’est pas le cas, descendez-la en bas de la liste. 

Cela ne veut pas dire que rien n’a d’importance dans la vie mais cela permet de faire un petit tri sélectif! 

D’ailleurs, essayez même, un jour, de ne pas réaliser cette tâche et de voir combien de temps cela vous contrarie.

Autre exercice à s’imposer, celui de l’épitaphe. Demandez-vous, par exemple, si vous souhaitez être « la fille du cimetière » qui mettait toujours de jolies serviettes en papier » quand elle recevait des amies. 

  • Déconnecter

Le fait d’être connecté en permanence rajoute un poids non négligeable à votre charge mentale. 

Il est en effet assez anxiogène de recevoir un mail du bureau alors que vous êtes en train de récupérer vos enfants à l’école. Ou, inversement, de recevoir un mail de la crèche alors que vous êtes en réunion. 

Essayez donc de vous imposer chaque jour une plage de plus en plus importante de déconnexion. 

Je ne suis pas encore au point sur le sujet mais je sais qu’une seule contrariété professionnelle peut me gâcher ma soirée et jouer sur mon humeur à la maison.

  • (Se) Dire merci

Vous faites des milliers de choses dans la journée mais personne ne le sait ou ne vous en remercie ? N’attendez pas de reconnaissance ou de remerciements des autres. Remerciez-vous, vous même. 

Dès que vous avez fini une tache qui vous a demandé beaucoup d’efforts, dites-le ! Et mieux, accordez-vous une mini récompense : une boisson que vous aimez bien, un magazine que vous aimez lire, une musique…

L’objectif est simple : se faire plaisir ! 

Qu’est ce qui vous pousse à vous poser des questions sur votre job ?

Il ne faut pas se leurrer, peut être que la satisfaction professionnelle n’était déjà pas au rendez-vous avant l’arrivée de votre enfant. Dès lors, le temps du congé maternité ou parental vous a simplement permis de réfléchir plus en profondeur à votre envie de changement Il vous a permis aussi de prendre de la distance vis à vis du travail en règle générale. 

En revanche, avant de tout plaquer, il va être vraiment intéressant de se poser les bonnes questions. A savoir :

  • Est ce que vous aimiez déjà ce que vous faisiez avant d’être maman ? 
  • Est ce que des choses ont changé dans la manière de faire votre job ? 
  • Est ce que vous avez la même vision du travail maintenant ? 
  • Est ce que vous êtes fière de ce que vous réalisez dans votre job ? 
  • Est ce que vous avez la possibilité de suivre des formations, d’apprendre, de vous améliorer ? 
  • Est ce que vous avez de la visibilité sur vos perspectives d’évolution ? 

Bref, réalisez un petit auto-diagnostic de votre job. Souvent, on évoque des éléments de frustration et d’insatisfaction qui ne sont pas vraiment les nôtres. Se poser les bonnes questions, sans faux semblant, est donc vraiment important. 

On parlera d’ailleurs de vos nouvelles motivations dans le prochain article …

CV mère au foyer, congé maternité, compétences maman

Quelles sont vos nouvelles compétences ? 

Il y a quelques mois, je me suis amusée à construire (avec l’aide d’amies bien sûr!), le CV « type » d’une maman qui revient de congé maternité

Les compétences principales qu’on y retrouve :

  • travailler sous pression : respecter une liste de course sans être déconcentrée par les cris et pleurs de votre bébé,
  • gestion du personnel et des carrières : gérer le « moi d’abord « , « non moi d’abord »
  • créativité : remplacer une couche par 24 serviettes de restaurant. 

Quand j’ai publié le CV, j’ai reçu des dizaines de messages de mamans qui m’ont avoué que parler de ce sujet leur avait fait du bien car elles avaient l’impression de n’avoir plus aucune compétence quand elles revenaient de congé maternité ou de congé parental. Elles avaient l’impression de ne plus rien savoir faire. J’ai ressenti une vraie douleur par rapport à ça.

Or, oui, on développe de vraies compétences en s’occupant de ses enfants !

Je sais que vous vous dites que vous ne pourrez jamais les mettre en avant durant un entretien mais il est tout de même utile de voir comment ces compétences peuvent se matérialiser dans une vie professionnelle. 

En outre, il est surtout important de comprendre que tout ce que vous avez appris en vous occupant de vos enfants va faire de vous, dans tous les cas, une meilleure professionnelle :

  • En premier lieu, vous êtes encore plus organisée au travail. Vous savez que vous ne pouvez pas finir après 18h donc vous savez très bien ce qu’il est indispensable de faire au bureau.
  • Qui plus est, vous stressez moins au boulot car le stress parental est bien supérieur
  • Enfin, vous savez mieux budgéter qu’avant car vous savez faire des listes, benchmarker, stocker… 

Le petit conseil pour faire le point sur la professionnelle que vous êtes devenue :

Un seul conseil : construisez votre CV de maman !

Dans ce CV, vous n’allez inclure que les nouvelles compétences que vous avez pu développer en étant maman. (Celles que vous avez développées depuis votre dernier congé maternité). Vous verrez, c’est très instructif!

Quels sont les talents qui sommeillent en vous ?  

On a parlé de CV et de compétences mais, en dehors de ce que l’on sait faire dans notre job, on a tous un ou plusieurs talents qui sommeillent en nous.

Pour rappel, un talent, c’est ce qu’on fait facilement, de façon naturelle, presque instinctive. Pour nous cela nous semble naturel mais on se rend compte que les autres ont tendance à vraiment nous féliciter pour ça. Vos talents résident dans ce qui est naturel pour vous mais qui a de la valeur pour les autres. 

Petits conseils pour identifier vos talents :

Pour vous aider à les identifier, n’hésitez pas à demander de l’aide aux autres. Choisissez 5 personnes de votre entourage et demandez-leurs quels adjectifs vous définissent le plus et sur quels sujets il vous demanderaient des conseils ou de l’aide s’ils en avaient besoin.

Gardez bien en tête leurs retours, surtout s’ils se retrouvent plusieurs fois.

Quand on devient mère, notre quotidien change mais nos envies et nos priorités changent aussi. Prendre le temps de mettre des mots sur la femme qu’on est devenue est fondamental pour savoir où on veut aller.

Comprendre où se trouvent vos déséquilibres, vos points de frustrations et de culpabilité ainsi que vos compétences et vos talents permettent de voir ce qui constitue la femme que vous êtes aujourd’hui. Une femme différente mais qui est en train de devenir une meilleure professionnelle !

Maintenant que vous avez appris à mieux vous connaître, je vous propose très vite d’identifier vers quoi vous voulez aller !

Et si vous avez dès maintenant envie de faire une Escale avec nous pour vous retrouver professionnellement, allez vite découvrir notre programme sur lescale.io.